Touche par touche la toile elle-même disparaît, à l'image des souvenirs qui s'étiolent dans une grâce, sans lutte, sans bruit, emportés irrémédiablement. D'où cette sensation de vide, d'effacement, cependant sans noirceur, comme pour rendre supportable l'inconsciente douleur irradiée de cette inéluctable et insidieuse progressive destruction.
Touche par touche la toile elle-même disparaît, à l'image des souvenirs qui s'étiolent dans une grâce, sans lutte, sans bruit, emportés irrémédiablement. D'où cette sensation de vide, d'effacement, cependant sans noirceur, comme pour rendre supportable l'inconsciente douleur irradiée de cette inéluctable et insidieuse progressive destruction.
Touche par touche la toile elle-même disparaît, à l'image des souvenirs qui s'étiolent dans une grâce, sans lutte, sans bruit, emportés irrémédiablement. D'où cette sensation de vide, d'effacement, cependant sans noirceur, comme pour rendre supportable l'inconsciente douleur irradiée de cette inéluctable et insidieuse progressive destruction.
Touche par touche la toile elle-même disparaît, à l'image des souvenirs qui s'étiolent dans une grâce, sans lutte, sans bruit, emportés irrémédiablement. D'où cette sensation de vide, d'effacement, cependant sans noirceur, comme pour rendre supportable l'inconsciente douleur irradiée de cette inéluctable et insidieuse progressive destruction.